A Chacun son Everest inaugurait le 25 juin sous un magnifique soleil un espace zen dans sa Maison de Chamonix. Un lieu pilote unique d’accompagnement de l’après-cancer, mais aussi un lieu de partage et d’énergie.
Avec la création d’un espace zen, l’association développe encore davantage son accompagnement psychologique et physique pour aider à « guérir mieux » en proposant des soins de support (yoga, massage, relaxation…).
L’association a organisé des séjours réparateurs pour plus de 4000 enfants atteints de cancer ou de leucémie, depuis 1994, et près de 600 femmes en rémission d’un cancer du sein, depuis 2011. L’objectif, reprendre confiance, se réconcilier avec son corps, partager son vécu avec d’autres malades et retrouver un élan de vie.
Une nouvelle étape dans l’association
Salles de yoga et de détente, quatre salle de massages et une terrasse face au Mont-Blanc installées sur 155 m2 viennent à présent compléter le grand chalet. Une extension à l’architecture zen, privilégiant les matériaux naturels et respectueuse de l’environnement.
Denis Mercadal, président, et Marie-Hélène Fauré-Farman, chargée de mission de GPMA, premier partenaire financier de l’association, présents pour l’inauguration étaient fiers et émus de partager cette nouvelle étape au côté de Christine Janin, l’énergique fondatrice de A Chacun son Everest.
Remise des diplômes
Point d’orgue de cette journée d’inauguration, le partage d’un moment de vie intense de la maison de Chamonix : la remise des diplômes de champion aux petits stagiaires, enfants atteints de cancer, après leur ascension du sommet. « Obstacle », « partage », « plaisir », « joie », « amour », « courage », « force »… sont les mots remplis d’émotion que les enfants renvoient à Christine Janin et à l’équipe accompagnante pour parler de cette ascension. Soudée autour des enfants, toute une équipe, Carole, Sylvie, Marie… Des médecins, infirmières, guides et bénévoles qui donnent bien plus que leur travail dans cette aventure. C’est un véritable partage d’amour et de confiance où chacun se nourrit de la force de l’autre. Un échange qui donne de l’énergie aux accompagnateurs et du courage aux enfants qui doivent continuer à se battre.