Programme daide à la parentalité soutenu par GPMA, The Human Safety Net pour les familles vient dêtre lancé en France. Nous sommes allés voir en Allemagne comment cette belle initiative a été mise en place avec succès.

Officiellement lancée en octobre dernier, la Fondation Generali The Human Safety Net va déployer son activité dans le monde. Le principe ? Créer une chaine d’aide, permettant à ceux qui en bénéficient de générer, par ricochet, des changements positifs.

En France, GPMA s’engage pour soutenir le programme The Human Safety Net pour les familles. Son objectif : soutenir des enfants âgés de 0 à 6 ans, issus de familles très vulnérables, en accompagnant leurs parents.

En Allemagne, le projet a été lancé en juillet dernier, en lien avec l’association Eltern AG présente dans 60 villes, afin de bénéficier de son expertise dans le domaine de l’accompagnement à la parentalité. « C’est un très bon début », explique Christoph Zeckra, directeur des Affaires Publiques et des Engagements Sociétaux de Generali en Allemagne. « Nous avons trouvé 18 partenaires, nous travaillons avec des bénévoles des associations locales et de nombreux collaborateurs de l’entreprise se portent volontaires pour offrir du temps ». Le projet est d’ailleurs ambitieux. Entre 2017 et 2022, 230 coachs/formateurs devraient accompagner 12 000 familles et 30 000 enfants.

Aider les parents pour aider les enfants

« En aidant et en renforçant les parents, on renforce les enfants. Pour que les enfants défavorisés ne deviennent pas des adultes défavorisés », précise Christoph Zeckra. « C’est un programme qui fonctionne bien car c’est un partenariat où parents et coachs sont sur un pied d’égalité, c’est très important pour créer une relation de confiance. »  Le responsable de la fondation en Allemagne constate les effets notables. « Par exemple, avec les techniques de communication non violente, on réduit le niveau de stress des parents, on améliore leur employabilité. On note également des bénéfices en termes de santé et de prévention des maladies psychologiques ».

Un effet bénéfique aussi pour les collaborateurs qui s’investissent. « C’est très satisfaisant, car cela a du sens », se réjouit Christoph Zeckra. Chargé d’essaimer cette initiative dans d’autres pays comme l’Argentine, la Bolivie, mais également en Asie, il avoue d’ailleurs qu’au-delà de sa motivation professionnelle, il ne pourrait porter ce projet sans un véritable engagement personnel.

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